Les 10 poètes équatoriens les plus reconnus de l'histoire

Les Poètes équatoriens Plus reconnues étaient parmi les écrivains les plus influents du XXe siècle, qui ont trouvé dans le contraste des problèmes politiques et sociaux avec la beauté de leur pays un bastion pour écrire.

Ces écrivains, chacun avec leur propre message à transmettre, proviennent d'origine si diversifiées qu'elles vont des élites aux classes pauvres. Parmi eux se trouvent Gonzalo Escudero, Karina Gávez ou José Joaquín de Olmedo.

Certains des poètes les plus reconnus datent du début du XXe siècle ou avant même. Certains d'entre eux ont été reconnus comme certains des poètes latins les plus importants avec Jorge Luis Borges, Pablo Neruda et Octavio Paz.

Aujourd'hui, de nombreux auteurs de ce genre parlent encore de la beauté de l'Équateur et des inégalités marquées observées dans de nombreux autres pays d'Amérique latine.

Les principaux poètes équatoriens

1- Gonzalo Escudero

Gonzalo Escudero, né à Quito le 28 septembre 1903 et tué à Bruxelles le 10 décembre 1971, était un poète et diplomate équatorien.

Il était le fils du politicien Manuel Eduardo Escudero et Elina Moscoso Dalgo. Comme curiosité, à l'âge de 15 ans, il a obtenu la première place du concours national de poésie avec son poème Les poèmes de l'art.

Peu de temps après, il a obtenu son doctorat en jurisprudence de l'Université centrale de l'Équateur. Il s'est distingué en tant que professeur de droit international à l'Université de Quito.

En outre, il a exercé comme ministre de l'Éducation, secrétaire de la Chambre et ministre des Affaires étrangères. Il a également été ambassadeur de plusieurs nations sud-américaines entre 1956 et 1965.

Parmi ses œuvres les plus remarquables figurent Introduction à la mort de 1930, Hurricane et détenu du soleil de 1933, Itanoche de 1947, Statue aérienne de 1951, Sujet ange de 1953, Autoportrait 1957, et Requiem pour la lumière de 1971.

Son travail est défini comme très avant-gardiste avec une influence marquée du modernisme. Il a des rythmes et des musicalités caractéristiques qui le séparent des autres poètes.

2- Karina Gálvez

Karina Gálvez, née le 7 juillet 1964 à Guayaquil, est un poète équatorien-américain.

Il a vécu dans l'État de Californie aux États-Unis de 1985 à 2012 et revit depuis lors en Équateur. Il a étudié l'économie à l'Université catholique de Santiago de Guayaquil et a obtenu un titre dans le tourisme et l'immobilier de la California Travel School. En plus de l'anglais, les Français, l'italien, l'allemand et le portugais.

Son premier livre Poésie et chansons Il a été publié en 1995 et contient des versions espagnoles et anglaises de ses poèmes.

Une sélection de ses poèmes a été incluse dans l'anthologie de Nouvelle poésie et récit américain espagnol du 21e siècle Publié en Espagne. Une autre de ses productions les plus connues est la poésie en prose Équateur qui fait mal.

Ses poèmes ont été traduits en anglais, roumain, bulgaro, tchèque et slovaque. Chacun de ses écrits a un ton romantique et facile à lire.

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De plus, les thèmes communs inclus sont l'amour et les odes à Guayaquil et en Californie. Il a également écrit plusieurs poèmes et écrits visant un public pour enfants L'étoile du Sud et Il était une fois il y avait un canard.

3- José Joaquín de Olmedo

José Joaquín de Olmedo y Maruri, né à Guayaquil le 20 mars 1780 et tué dans la même ville le 19 février 1847, était président de l'Équateur et poète.

Il était le fils du capitaine espagnol Don Miguel de Olmedo y Troyano et du Guayaquil Ana Francisca de Maruri et Salavarría.

Au cours de sa vie, il s'est consacré à la création de romans, de sonates, de poèmes, entre autres. Le thème commun de ses productions était le patriotisme.

Parmi ses œuvres les plus reconnues figurent Chanson à Bolívar, Gagnant à Miñarica et Au général Flores. Il a également conçu le drapeau et le bouclier de Guayaquil et a composé les paroles de son hymne. En 1848, il a été publié Œuvres poétiques, Une collection de ses œuvres.

4- Jorge Carrera Andrade

Jorge Carrera Andrade, né à Quito le 18 septembre 1903 et tué dans la même ville le 7 novembre 1978, était poète, historien et diplomatique équat.

Il a étudié la philosophie et les paroles en Espagne et a ensuite étudié les relations étrangères en France. A servi comme consul et ambassadeur dans de nombreux pays d'Amérique, d'Asie et d'Europe.

Sa carrière dans la littérature comprend des œuvres dans une variété de genres, notamment la poésie, la critique, la traduction et l'édition.

En 1922 publie Étang ineffable Avec des problèmes faisant allusion à la nature. Une autre de ses œuvres les plus notables est Le Guirnalda del Silence de 1926 dans lequel il reste dans une ligne dans laquelle il se réfère à des questions plus terrestres et plus que celles plus transcendantales et politiques d'autres auteurs de l'époque.

La génération décapitée

La «génération décapitée», a été composée d'un groupe de jeunes écrivains équatoriens au cours des deux premières décennies du XXe siècle.

Il était composé d'Ernesto Noboa et de Caamaño, Humberto Fierro, Medardo Ángel Silva et Arturo Borja. Ces poètes ont été regroupés sous ce nom parce que tout le monde est mort à un âge précoce en raison de causes de suicide ou de raisons qui ne pouvaient pas être clairement établies.

Le terme a été inventé par des journalistes et des historiens qui ont remarqué les similitudes dans les versets composés de ces artistes.

5- Ernesto Noboa et Caamaño

Ernesto Noboa et Caamaño, nés à Guayaquil le 2 août 1889 et tués à Quito le 7 décembre 1927, était un poète équatorien. Noboa et Caamaño venaient d'une famille riche de la ville de Guayaquil. Pendant son enfance, il a souffert de névrose constante qui a été apaisée avec de la morphine.

Tout son travail a été rassemblé dans un livre intitulé Romanza des heures, Publié en 1922. Émotion du soir C'est l'un de ses poèmes les plus reconnus et marque une nouvelle ère dans la composition de ce genre en Équateur.

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Avant sa mort, il était en préparation un livre intitulé L'ombre des ailes qui ne voit jamais la lumière. Sa poésie délicate et précise montre des influences marquées de Baudelaire, Samain et Verlaine. 

6- Humberto Fierro

Humberto Fierro, né à Quito en 1890 et tué dans la même ville le 23 août 1929, était un poète équatorien. Fierro était d'une famille riche, fils d'Enrique Fierro Rosero et Amalia Jarrín Zapata.

En 1919, Fierro a publié son premier livre intitulé Le fort dans la vallée Et son deuxième livre Soirée palatin Il a été publié jusqu'en 1949, 20 ans après sa mort. Son inspiration est venue de lire des auteurs tels que Baduelaire, Rimbaud, Verlaine et Hugo.

7- Medardo Ángel Silva

Medardo Ángel Silva, née à Guayaquil le 8 juin 1898 et tuée dans la même ville le 10 juin 1919, était un poète équatorien.

Silva était d'une famille ouvrière. Cependant, il a fréquenté une école prestigieuse pendant son enfance et est venu travailler dans le journal "El Telegrafo" de la ville.

Comme les autres membres appelés membres de la «génération décapité», Fierro a été largement influencé par le mouvement moderniste de Rubén Darío et la poésie romantique française du XIXe siècle.

Ses poèmes ont un fantasme en commun et en même temps fascination pour la mort. Il a utilisé des pseudonymes tels que "Jean D'en" et "Oscar René" pour son travail littéraire qui devrait être publié à titre posthume.

Ses seules œuvres publiées dans la vie étaient les poèmes de L'arbre du bien et du mal 1918 et le roman Marie Jésus de 1919. Une sélection faite par Gonzalo Zaldumbique et appelée Poèmes choisis Il a été publié à Paris en 1926.

Un de ses poèmes les plus connus, L'âme sur les lèvres, C'était populaire pour la chanson de Julio Jaramillo qui utilise ses versets

8- Arturo Borja

Arturo Borja Pérez, né à Quito en 1892 et tué dans la même ville le 13 novembre 1912, était un poète équatorien.

De High Crib, Borja était un descendant direct de Juan de Borja, III duc de Gandía, petit-fils du pape Alejandro VI, et Enriquez de Luna, petite-fille du roi Ferdinand II d'Aragon. Son père, Luis Felipe Borja Pérez, l'a envoyé à Paris pour des problèmes médicaux avec son œil et c'est là qu'il a acquis la maîtrise du français.

Ses inspirations directes étaient les versets de Verlaine, Mallarmé, Rimbaud, Samain et Baudelaire. Borja a épousé Carmen Rosa Sánchez détruit le 15 octobre 1912, moins d'un mois avant son suicide. Il a gardé l'amitié avec Humberto Fierro et Ernesto Noboa Caamaño. Il est mort d'une surdose de morphine.

Sa production poétique n'était pas étendue mais chaque travail était de très bonne qualité. Vingt poèmes rassemblés dans un livre intitulé La flûte Ónix, et six autres poèmes devraient être publiés à titre posthume. Chaque poème était marqué par une mélancolie remarquable et un désir de mort.

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Son poème, Pour moi ta mémoire, Il a été transformé en un couloir populaire par le compositeur Miguel Ángel Casares Viteri et joué par Carlorta Jaramillo.

9- Alfredo Gangotena

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Quito né en 1904 et décédé en 1933, Gangotena était le fils d'une riche famille avec laquelle il a déménagé dans son adolescence en France. Cela lui a permis de frotter et illustré de Paris et d'écrivains d'Amérique latine qui y résident en tant que Vicente Huibodro ou son compatriote Jorge Carrera Andrade.

Son travail est lié à Avant -Garde, c'est très expérimental et innovant. Ses thèmes à traiter étaient utilisés pour la famille ou la mort, être une poésie plutôt sombre et difficile à comprendre si son contexte personnel n'est pas compris.

Il serait également nécessaire de revoir sa domination du français, qui a grandement influencé la façon de s'exprimer, ignorant pleinement les Américains ou d'autres styles natifs de l'Équateur.

Parmi ses œuvres poétiques peuvent être mises en évidence L'Oge Secret (1927), Originaire (1928) ou Nuit (1938), tous en français, mais largement traduit par Gonzalo Escudero et Samaniego Filoto.

10- Violet Luna

Pingulla / cc by-sa (https: // CreativeCommons.Org / licences / by-sa / 4.0)

Né en 1943 à Guayaquil, c'est l'un des poètes contemporains les plus importants de sa génération. Il a également de l'expérience en tant qu'essayiste et narrateur, étant un doctorat en sciences de l'éduisation.

L'amour est le thème principal de ses écrits, bien qu'il ait également exprimé une certaine sensibilité et pessimisme lorsque son approche visait la vie et les peines du monde. Pour l'exprimer, le paradoxe, l'ironie ou l'humour noir ont été très présents dans leur style littéraire.

Certaines de ses œuvres les plus notables ont été La fenêtre d'eau (1965), Et avec le soleil, je me couvre (1967), Hier je m'appelais printemps (1973), Cœur d'acrobate (1983) Mémoire de la fumée (1987) Les portes de l'herbe (1994) ou La bougie cachée (2005).

Les références

1. Université technique privée de Loja. Biblioteca de base des auteurs équatoriens. Gonzalo Escudero. [En ligne] 2 décembre 2015. [Cité le 13 mars 2017.] Auteurs équatoriens.Utpl.Édu.CE.
2. Biographies et vies. Ernesto Noboa Caamaño. [En ligne] 2004. [Cité le 13 mars 2017.] Biographie et vidas.com.
3. -. Humberto Fierro. [En ligne] 2004. [Cité le 13 mars 2017.] Biographie et vidas.com.
4. -. Medardo Ángel Silva. [En ligne] 2004. [Cité le 13 mars 2017.] Biographie et vidas.com / biographie / s / silva_medardo.htm.
5. Historia. Biographie Arturo Borja. [En ligne] 24 novembre 2014. [Cité le 13 mars 2017.] Lhistory.com / biografias / arturo-borja.
6. Gálvez, Karina. Site officiel. Biographie. [En ligne] 2017. [Cité le 13 mars 2017.] Karinagalvez.com.
7. Buscabiographie.com. José Joaquín Olmedo . [En ligne] [cité le 13 mars 2017.] Buscabiografias.com.
8. Biographies et vies. Jorge Carrera Andrade. [En ligne] 2004. [Cité le 13 mars 2017.] Biographie et vidas.com.