Biographie de vérité Sojourner, mort, phrases

Vérité de la Soconde (C.1797 - 1883) a été l'un des défenseurs les plus importants des droits de l'homme aux États-Unis au 19e siècle. Il est né en tant qu'esclave et a obtenu la liberté, après quoi il a consacré sa vie à la prédication et à l'activisme social.

Quand il avait environ 30 ans, après avoir traversé plusieurs propriétaires, il s'est échappé avec sa fille nouveau-née. Deux ans plus tard, il est allé au tribunal pour récupérer son fils de 7 ans, qui était captif, bien que l'esclavage ait déjà été aboli en 1827.

Vérité de la Soconde

La vérité Sojourner est dans les mémoires pour avoir combattu non seulement contre l'esclavage, mais pour la lutte pour l'égalité des droits pour les femmes. De plus, il a contribué au recrutement de troupes noires pendant la guerre civile américaine et est considéré comme l'une des 100 personnes les plus influentes de l'histoire de ce pays.

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Biographie

Premières années

Isabella "Bella" Baumfree (parfois enregistrée comme Bomfree) est née vers 1797 au Trésor de Swartekill, situé près d'Esopus, dans l'État de New York. Ses parents, Elizabeth et James Baumfree, appartenaient au propriétaire de ces terres, Johannes Hardenbergh Jr.

Après la mort de Johannes en 1799, Isabella est devenue la propriété de son fils Charles. Il est décédé vers 1807 et a ensuite été vendu à John Neely, qui, moins d'un an plus tard, l'a vendue à Martinus Schryver.

Après 18 mois de service, en 1810, Schryver a vendu Bella à laquelle elle est devenue sa dernière propriétaire, John Dumont, de New Paltz, qui avait un traitement beaucoup plus convivial que Bella de la famille Neely.

Là, il a pris un style de vie plus silencieux, mais la femme de John Dumont, Elizabeth Waring Dumont, l'a constamment harcelée.

Quand Bella avait environ 18 ans, elle est tombée amoureuse d'un esclave appartenant à Charles Catton Jr. qui vivait dans une hacienda voisine, mais le propriétaire a opposé son veto à la relation.

L'esclave, nommé Robert, a été découvert un jour tout en glissant pour lui rendre visite. Catton et son fils l'ont frappé sauvagement jusqu'à l'arrivée de Dumont et pouvaient les arrêter. La scène brutale a marqué Isabella à vie.

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Jeunesse

En 1815, Diana avait déjà eu deux enfants. La paternité du premier est inconnue, appelée James, décédé en tant que bébé. Il est supposé que cela aurait pu provenir de Robert ou Dumont. On pense également que ce pourrait être une rangée de l'une des personnes qui fréquentaient la taverne de Schryver.

Cependant, presque certainement, Diana, née en 1815, était la fille de son maître.

En 1820, Isabella était mariée à un autre esclave plus grand qu'elle, Thomas. Le couple a eu trois enfants: Peter, 1821, Elizabeth, vers 1824, et Sophia, en 1926.

Dumont avait promis à Bella qu'elle donnerait sa liberté un an avant ce que les lois sur l'émancipation de l'État de New York exigeaient. Ceux-ci ont forcé tous les esclaves à donner la liberté avant le 4 juillet 1827.

Quand 1826, John Dumont a brisé sa parole, arguant à faussement qu'Isabella avait peu travaillé ces derniers mois parce qu'elle avait perdu son index gauche.

La blessure d'Isabella avait été causée par un excès de travail, car elle avait promis à son maître qu'elle allait être fidèle et travaillerait très dur avant sa libération.

Liberté et début du combat

Illustration de la vérité Sojourner

À l'automne de cette année, Isabella Baumfree a pris son bébé encore en bas âge, Sophia, et est parti pour une colonie quantique près de Marbletown. Ceux-ci ont conduit le mouvement abolitionniste de l'État.

Grâce à eux, Baumbfree a eu refuge à Esopus, dans la maison d'Isaac D. Van Wagenen et sa femme Maria Schoonmacher. Parce que Bella était encore légalement de Dumont, Van Vegegen l'a achetée et sa fille pour 25 $.

Bien qu'il appartenait maintenant légalement à la nouvelle famille, il a d'abord été traité comme une personne libre. Le 4 juillet 1827, le jour de l'émancipation juridique, il a été baptisé dans l'église méthodiste et a pris le nom d'Isabella Wan Wegenen.

Peu de temps après, Isaac Van Wegenen a informé Isabella que son fils de 5 ans Peter avait été vendu à l'esclave de l'Alabama.

En vertu des lois de 1817, les esclaves mineurs devaient rester dans l'État de New York dans une sorte d'esclavage "virtuel" jusqu'à ce qu'ils aient l'âge légal, donc leur vente à une personne d'un autre État était illégale.

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La van Wegenen l'a conseillé et soutenue, grâce à laquelle Bella a porté l'affaire devant les tribunaux d'État. Enfin, en 1928, les Cortes ont décidé en leur faveur et pouvaient récupérer leur fils. Isabella est devenue l'une des premières femmes noires à remporter une affaire contre un homme blanc.

Le pélerinage

Sojouner Truth, National Portrait Gallery

En 1829, Isabella a déménagé avec Peter à New York. Là, il a travaillé comme femme au foyer d'Elie Pierson, un chrétien évangéliste. Cinq ans plus tard, Pierson est décédé, peut-être en raison d'un empoisonnement. Bella a été accusée comme complice d'homicide mais a été acquittée.

Vers 1843, Isabella a dit à ses proches d'avoir eu une vision divine qui lui a ordonné de prêcher la vérité de la foi. Le 1er juin, Isabella Wan Wegerne a pris le nom de Sojourner Truth (qui peut être traduit par "Pilgrim Truth").

La vérité était une conférencière et chanteuse très appréciée, tant de gens ont assisté aux réunions où elle a été annoncée. En 1844, il a rencontré William Lloyd Garrison, Frederick Douglass et David Ruggles, qui appartenait à un groupe abolitionniste qui préconisait également les droits pour les femmes.

William Lloyd Garrison

Cette même année, Sojourner Truth a prononcé son premier discours abolitionniste. Garrison était un homme très influent et avec des idées très radicales pour son temps.

Sojourner Truth a non seulement incorporé ses idéaux anti-scèdu à ses discours, mais a pris les idées de l'égalité complète des droits pour tous, sans distinction de croyance, de race ou de sexe.

En 1851, Sojourner Truth a prononcé son discours le plus célèbre «N'est-ce pas une femme?"À Akrom, Ohio.

Un esclave à genoux «Suis-je pas une femme et une sœur?"

Il a ensuite comparu devant des centaines de publics sur la côte est du pays, avec des questions telles que l'abolitionnisme, les droits égalitaires pour les femmes, la réforme du système pénitentiaire et a également parlé de la peine de mort.

Vérité de Sojourner, 1864

Décès

Tombe Sojourner Truth dans le Michigan.  Source: utilisateur Midwest1.9 / CC BY-SA (https: // CreativeCommons.Org / licences / by-sa / 4.0)

Le 26 novembre 1883, Sojourner Truth est décédé à son domicile à Battle Creek, Michigan. Pendant plusieurs jours, il l'avait mal vu et il était difficile pour lui de parler, mais la maladie qui l'a affligé n'a pas été identifiée.

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Son cercueil a été inculpé par certaines des personnes les plus importantes de la ville et a été enterrée au cimetière d'Oak Hill dans la même ville.

Phrases

Vérité de Sojourner sur la fresque avec l'artiste Norman Carton, 1941. Source: Norman Carton Photography This autoportrait et peint cette murale / cc by-sa (https: // CreativeCommons.Org / licences / by-sa / 4.0)

- «Si la première femme que Dieu a rendue était suffisamment forte pour mettre le monde à l'envers, les femmes unies devraient pouvoir la renverser!".

- «Donc, ce petit homme noir dit que les femmes ne peuvent pas avoir autant de droits que les hommes parce que le Christ n'était pas une femme, d'où est venu votre Christ?, Dieu et une femme! L'homme n'avait rien à voir avec lui ".

- «Si les femmes veulent plus de droits qu'elles ne l'ont fait, pourquoi ne les prennent-ils pas et arrêtent d'en parler?"

- «Les enfants, qui ont fait sa peau blanche, n'était pas Dieu? Qui a fait la mienne noire, n'était pas le même Dieu? Est-ce que je blâme donc que ma peau est noire? Dieu n'aime-t-il pas les enfants comme couleur ainsi que les enfants blancs? Et a fait le même sauveur mourir pour en sauver l'un comme l'autre?"

- «En cour, les femmes n'ont ni droit ni voix; Personne ne parle pour eux. Je veux que la femme ait sa voix parmi les picapleitos. Si ce n'est pas un endroit adéquat pour les femmes, il ne convient pas aux hommes d'être là ».

Les références

1. Van Rossum, H., 2020. Comment l'Université Rutgers est liée à Sojourner Truth: The Hardenbergh Family dans le comté d'Ulster, NY. Département des collections spéciales et des archives universitaires, Rutgers University [en ligne] Avilable à: Sinclairnj.Blogs.Rutgers.Edu [consulté le 17 juillet 2020].
2. Dans.Wikipédia.org. 2020. Vérité de la Soconde. [En ligne] Disponible sur: dans.Wikipédia.org [accès au 17 juillet 2020].
3. Dans.UNESCO.org. 2020. Sojourner Truth Biography | Femmes. [En ligne] Disponible sur: dans.UNESCO.org [accès au 17 juillet 2020].
4. Washington, M., 2009. L'Amérique de Sojourner Truth. Urban: University of Illinois Press.
5. Encyclopédie Britannica. 2020. Vérité de Sojourner | Biographie, accomplissement et faits. [En ligne] Disponible sur: Britannica.com [Access 17 juillet 2020].