Caractéristiques des protozoaires, classification, reproduction, nutrition

Les protozoaire o Les protozoaires sont des organismes unicellulaires eucaryotes. Ils peuvent être des hétérotrophes ou des autotrophes facultatifs. La plupart sont seuls, mais il existe des formes coloniales, étant pratiquement dans n'importe quel habitat. La plupart sont une vie libre, presque tout le monde vit dans la mer ou dans l'eau douce, bien qu'il existe de nombreuses espèces parasitaires d'autres organismes, y compris l'homme.

Les protozoaires sont un groupe polyphytique d'organismes qui, selon la taxonomie classique, étaient situés dans le royaume Animalia. Une classification plus récente les a inclus avec d'autres organismes unicellulaires et quelques algues vertes dans le royaume ou le protodique protiste. 

Protozoo, Balantidium coli en assemblage humide. Photographie par: Euthman. Pris et édité auprès de Commons.Wikimedia.org

Son origine est très ancienne, il y a des registres fossiles du précambrien. Le premier chercheur à les observer était Anton van Leeuwenhoek. Entre 1674 et 1716, ce chercheur a décrit des protozoaires de vie libre, ainsi que plusieurs animaux d'animaux. Il a même décrit Giardia lamblia de leurs propres excréments.

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Caractéristiques générales

Peut-être que la seule caractéristique commune que les membres de ce groupe partagent est leur niveau d'organisation cellulaire, car dans tous les autres aspects, ils sont très divers.

Parmi les protozoaires figurent tous des types de symétrie connus, de la symétrie totalement asymétrique à la symétrie sphérique. Sa taille pourrait varier entre un micron et quelques millimètres.

Son mécanisme de déplacement est également assez variable. Ils peuvent manquer de mobilité et dépendre de l'environnement ou d'autres organismes de déplacement. D'autres peuvent se déplacer à travers des pseudopodes, des cils ou des flagelles.

Le corps peut être soutenu par un exosquelette appelé testa ou par le cytosquelette interne. Le cytosquelette peut être formé par microfilaments, microtubules ou par vésicules.

La digestion alimentaire, en protozoaires, est intracellulaire, se produisant à l'intérieur de la vacuolie digestive. La nourriture atteint la vaccin par phagocytose ou endocytose. La concentration interne de l'eau et des ions est réalisée au moyen d'une vacuole contractile.

La forme de reproduction la plus généralisée est la fission. Ce type de reproduction se produit à un moment donné du cycle de vie de la plupart des protozoaires.

Origine

On pense que l'origine des protozoaires provient d'un processus de symbiose entre les bactéries, les mitochondries et les plastiques. Une bactérie primitive de la protéoarchaeota clado aurait pu abriter une alphaproteobacteria (organisme similaire à Ricketsias), qui a donné naissance à des mitochondries.

Cette relation aurait pu être établie il y a environ 1600 à 1800 millions d'années. Lynn Margulis, biologiste américain, était le principal promoteur de cette hypothèse sur l'origine des eucaryotes en général et des protozoaires en particulier.

Classification

Le nom Protozoo a été érigé par le zoologiste allemand Georg Goldfuss, en 1818, pour regrouper ceux qui considéraient les animaux primaires. Défini, en 1820, les protozoaires comme une classe au sein du royaume Animalia. Ce groupe, cependant, contenait, en plus des infumeurs (ciliophora), certaines espèces de coraux, algues unicellulaires et de méduses.

En 1845, un autre zoologiste allemand, Carl Theodor Ernst von Siebold, a élevé les protozoaires phylum dans le royaume des animaux. Il les a divisés en deux classes, Infusoria (Ciliophora) et Rhizopoda.

Par la suite, en 1858, l'Anglais Richard Owen a séparé les protozoaires des animaux et des légumes.

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Ernst Haeckel a inclus les protozoaires dans le royaume protiste, un taxon créé par lui-même pour toutes les formes unicellulaires et simples. En plus des protozoaires, ce royaume comprenait des protagonistes atypiques et des protistes.

Cependant, pendant longtemps, après cette proposition, les protozoaires ont été considérés comme un phylum d'organismes unicellulaires au sein du règne animal.

En 1938, h. F. Copeland, a proposé la division des êtres vivants en quatre royaumes: Monera, Protista, Plantae et Animalia. Dans cette proposition, Copeland a pris les bactéries et les cyanobactéries du protiste et les a inclus dans le nouveau royaume Monera. Par la suite, R. H. Whittaker, a séparé les champignons des protoctistes et les a inclus dans le royaume des champignons.

-Classification traditionnelle des protistes

La classification classique considère les protozoaires un seul phylum chez les animaux. Ce phylum est à son tour divisé en quatre classes basées, fondamentalement, dans le mode de locomotion:

Rhizopoda ou sarcodina

Son mécanisme de déplacement passe par l'émission de pseudopodes. Les pseudopodes sont des projections temporaires du cytoplasme et de la membrane plasmique comme annexes. Parmi ses représentants figuraient la radio, les foraminifers, l'hélium, les amibes et autres.

Ciliophora ou ciliata

Ils se déplacent dans les cils, courts et très nombreux filaments qui entourent le corps de l'organisme. Parmi les Ciliates figurent les péritriquia et les spirotrrites, entre autres.

Mastigophore ou flagellata

Ils se déplacent dans un ou plusieurs flagellé. Les flagelles sont des filaments plus longs que les cils et apparaissent généralement dans un petit nombre. Ils font partie des représentants de ce groupe les Dinofagelladas, les coanofagellates et les opalines.

Sporozoaire

Ils ne présentent pas de structures pour la locomotion. Ce sont des parasites qui ont une phase de sporulation. Parmi eux se trouvaient des microsporidios, maintenant considérés.

-Classification actuelle

Thomas Cavalier-Smith et ses collaborateurs, en 1981, ont élevé les protozoaires à la catégorie du Royaume. Pour leur part, Ruggiero et ses collaborateurs, en 2015, ont accepté cette proposition et divisé le royaume des protozoaires en huit phyla:

Euglénozoa

Flagellés unicellulaires excavés. La plupart des vies libres comprennent également des espèces parasitaires importantes, dont certaines infectent les humains. Il est divisé en deux groupes: Euglénidos et Quinetoplastidos.

Amoopozoa

Espèces d'améboïde, qui ont souvent des pseudopodes types de lobopodes et de crêtes mitochondriales. La plupart des espèces sont unicellulaires, bien qu'elles comprennent également plusieurs espèces de moules qui ont une étape de leur vie macroscopique et multicellulaire. À ce stade, des cellules amiboïdes individuelles sont ajoutées pour produire des spores.

Métamonada

Des fléaux excavés dépourvus de mitochondries. La composition du groupe est toujours en discussion, mais inclut le torsate, les diplomonadas, les parabasalidas et oximalated. Toutes les espèces sont anaérobies, qui sont principalement comme un symbière animal.

Choanozoa (Sensu Cavalier-Smith)

C'est un clado d'opistocontts eucaryotes qui comprend des coanoflagellates et des animaux (exclus par Cavalier-Smith).

Loukozoa

Eucaryotes excavés. Comprend Anaeromonadea et le Jakobean. L'identité taxonomique du groupe n'est pas encore claire.

Percolozoa

Ils sont un groupe d'eukaryas excavés incolores.

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Microsporidie

Les microsporidios sont un groupe de parasites unicellulaires qui forment des spores. Les microsporidios sont limités aux hôtes animaux. La plupart des insectes infectieux, mais sont également responsables des maladies communes des crustacés et des poissons. Certaines espèces peuvent affecter les humains.

Sulcozoa

Il s'agit d'un groupe paraphilétique proposé par Cavalier-Smith comme modification du groupe Apusozoa. Les organismes de ce groupe se caractérisent par la présence d'un teck sous la surface dorsale de la cellule, avec une rainure ventrale, et la plupart aussi avec des flagelles.

Critique de cet ordre

Ce royaume est considéré comme parafiletique, dont on pense que les membres des champignons, Animalia et Chromista Royaume ont évolué. Il exclut plusieurs groupes d'organismes traditionnellement situés parmi les protozoaires, notamment les ciliés, le dinofagellated, les foraminifera et l'apicomplejos. Ces groupes ont été classés sous le royaume de Chromista.

la reproduction

Les formes de reproduction entre les protozoaires sont assez variées. La plupart se reproduisent d'une manière asexuée. Certaines espèces ne sont divisées que de manière asexuée, d'autres peuvent également se reproduire sexuellement.

-Reproduction asexuée

Il existe différents mécanismes de reproduction asexués:

Fission binaire

Également connu sous le nom de bipartition, c'est une manière de reproduction asexuée. Il se compose de duplication d'ADN, suivie de la division du cytoplasme. Ce processus se traduit par deux cellules filles similaires.

Géme

C'est un type de reproduction de mitose asymétrique. En cela, un bombé (jaune) se forme dans une partie de la membrane plasmique.

Le noyau du parent est divisé et l'un des noyaux résultants passe au jaune. Le jaune se sépare ensuite de la cellule progénitrice, donnant naissance à une grande et une cellule plus petite.

Schizogonie

En cela, la cellule souche se développe et développe une capsule avant de diviser. Passez ensuite à travers un processus de fissure binaire successif, avant que les différentes cellules qui en résultent ne se dispersent.

-Reproduction sexuée

Il n'est pas fréquent parmi les protozoaires. Ne mène pas directement à la formation de nouvelles individus. Normalement, cela se produit par la fusion d'individus haploïdes similaires.

Cette fusion produit un zygote diploïde. Ce zygote souffre par la suite de division méiotique pour récupérer la condition haploïde et produit quatre nouveaux organismes haploïdes.

Nutrition

Les protozoaires peuvent être des hétérotrophes ou des autotrophes en option. Les hétérotrophes peuvent être saprozoïques ou holozoïques. Les espèces saprozoïques acquièrent des substances organiques par différents moyens. Ils peuvent utiliser la diffusion, le transport actif ou la pinocytose.

La pinocytose est un type de molécules solubles endocytose, qui consiste à capturer le matériel spatial extracellulaire par invagination de la membrane cytoplasmique.

Les espèces holozoïques ingèrent leur proie ou leur nourriture par phagocytose. La phagocytose consiste à englober les proies ou les particules alimentaires et les enfermer dans des vésicules relativement importantes.

Nutrition des protozoaires. Pinocytose. Image de: Jacek FH (dérivé de Mariana Ruiz Villarreal). Pris et édité auprès de Commons.Wikimedia.org

La nourriture digérée par les protozoaires est destinée à une vacuole digestive. La vacuola digestive peut provenir n'importe où dans la cellule, ou associée au cytostome, selon l'espèce.

Cette vacuole est fusionnée un lysosome, libérant ses enzymes hydrolytiques et ses acides lysosomaux à l'intérieur de la vésicule biliaire. Comme la vacuola est acidifiée, la membrane vacuolaire développe des microvages qui sont dirigés vers la vacuole.

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Par la suite, la membrane vacuolaire forme de petites vésicules qui sont remplies du produit de la digestion et se détachent vers le cytoplasme.

Les produits de digestion sont transportés par diffusion dans le cytoplasme. Ces produits peuvent être utilisés directement ou stockés sous forme de lipides ou de glycogène. Les restes non digérés, quant à eux, sont libérés par exocytose.

Certaines espèces peuvent être symbières d'autres organismes, comme certains oxamonadinos qui sont des convives ou des mutualistes qui habitent les tracts d'insectes digestifs. D'autres espèces peuvent être parasites provoquant des maladies chez les animaux et chez l'homme.

Les maladies qui peuvent provoquer

Microsporidiose

Causé par les microsporidios. Il s'agit d'une infection intestinale opportuniste qui provoque la diarrhée et l'affaiblissement chez les personnes atteintes du système immunitaire engagé.

Méningphalite amibienne primaire

Causé par Ameba Naegleria Fowleri. C'est une maladie rare et très mortelle qui affecte le système nerveux central. Dans les 3-7 jours après avoir contracté l'infection, la distorsion du sens de l'odeur commence.

La capacité de sentir et de percevoir le goût de la nourriture est rapidement perdue en raison de la mort des cellules nerveuses de l'odeur. Ces symptômes sont suivis d'un mal de tête, d'une nausée, d'une raideur des muscles du cou et de vomissements. Les délires, les convulsions, mangent par la suite et apparaissent plus tard la mort.

Amébiase ou Amibiase

C'est une maladie produite par les amibes Entamoeba histolytica, Entamoeba disparate et Entamoeba moshkovskii. Cela constitue la troisième cause de décès parmi les maladies parasitaires. Ils ne le dépassent que dans le nombre de décès causés, le paludisme et la schistosomiase.

Le parasite est généralement acquis sous la forme d'un kyste en ingérant des aliments ou des liquides contaminés. Vous pouvez envahir la muqueuse intestinale productrice de dysenterie, ainsi que des ulcérations et se propager vers d'autres organes.

Il est considéré que entre 10 et 20% de la population mondiale présente cette infection. 10% des personnes infectées ont la maladie. Son taux de létalité se situe entre 0,1 et 0,25%.

La maladie de Chagas

C'est une maladie causée par des protozoaires flagellés Trypanosoma cruzi et transmis par les insectes de triathomin (Chipos). La maladie se produit en trois phases: aiguë, indéterminée et chronique.

Dans la phase chronique, il affecte le système nerveux, le système digestif et le cœur. La démence, le myocardiopathie, la dilatation du tube digestif, la perte de poids et peuvent éventuellement être mortels.

Cause protozoaire du mal de Chagas Trypanosoma cruzi, au cœur d'un singe. Histopathologie. Photographie de: dr. Ll moore, jr. Pris et édité à partir de https: // communes.Wikimedia.org / wiki / fichier: trypanosoma_cruzi_heart.Jpg.

Leishmaniose

Ensemble de maladies causées par les mastigophores du genre Leishmania. Affecte les animaux et les humains. Il est transmis à l'humain par la morsure des insectes de phlébotomes infectés.

La leishmaniose peut être cutanée ou viscérale. Dans la peau, le parasite attaque la peau produisant des ulcères. Sous la forme viscérale, il affecte le foie et la rate.

Les références

1. R. Brusque, g.J. Bruk (2003). Invertébrés. 2e édition. Sinauer Associates.
2. T. Cavalier-Smith (1993). Kingdom Protozoa et ses 18 phyla. Rev Microbiol.
3. T. Cavalier-Smith (1995). Phylogénie et classification zooflagellate. Tsitologiya.
4. Protozoaire. À Wikipedia. Récupéré de.Wikipédia.org
5. M.POUR. Ruggiero, D.P. Gordon, t.M. Orrell, n. Bailly, t. Bourgoin, r.C. Brusca, t. Cavalier-smith, m.D. Guiry, P.M. Kirk (2015). Une classification de niveau supérieur de tous les organismes vivants.  Plos un.
6. R.g. Yaeger (1996). Chapitre 77. Protozoaires: structure, classification, croissance et développement. En. Baron. Microbiologie médicale. 4e édition. Branche médicale de l'Université du Texas à Galveston.