Baal (Demon) Histoire, l'étymologie

Baal (Aussi appelé Bael, Belcebú et le Seigneur des mouches) est l'un des sept princes de l'enfer qui représente également le péché de la gourmandise. De plus, ce chiffre est nommé plusieurs fois dans l'Ancien Testament, car il fait référence à l'un des principaux dieux masculins qui était adoré à Canaan et Phenicia.

Dans le contexte biblique et chrétien, Baal (dont le nom signifie également "enseignant", "Seigneur" et "propriétaire"), a des légions de démons sous son commandement et agit comme une sorte d'assistant personnel de Satan. Au Moyen Âge, il a été dit que Baal était un chérubin dans le ciel qui a suivi Satan quand il a été envoyé en enfer.

Source: Wikimedia. Représentation du démon de Baal.

Il y a plusieurs théories au sein du christianisme qui expliquent leur arrivée en enfer, qui prétendent que c'est un chérubin qui a suivi Lucifer au pays des ténèbres. D'un autre côté, on pense que c'était un ange qui accompagnait Satan dans sa lutte pour saisir le ciel et qu'une fois en enfer, il est devenu son assistant.

Dans d'autres passages des écrits sacrés, il est indiqué que Baal et Satan sont la même personne et qu'il est responsable, au sein de leurs fonctions, le péché capital de la gourmandise et fait tomber les hommes dans le péché.

Il convient de noter que Baal a acquis sa conception démoniaque de la naissance du judaïsme et du christianisme dans le sens où tous les dieux autres que Yaveh ou Jéhovah sont devenus des démons considérés.

Selon la mythologie, dès que les Israélites ne connaissaient pas le seul Dieu et se sont inclinés devant le culte et la croyance du dieu baal de la fertilité, ils ont été gravement punites.

Par conséquent, la conception monothéiste a conféré des caractéristiques diaboliques à toutes les divinités qui étaient adorées dans la civilisation phénicienne et dans les écrits sacrés, les actions perverses de ces figures étaient détaillées.

Le nom de la divinité phénicienne a été transformé par les Hébreux et est devenu le "Seigneur des mouches", en référence au grand nombre de ces animaux qui ont envahi les temples de Baal à la suite de l'offre atteignant l'état de pourriture.

Les éléments utilisés pour adorer la divinité étaient liés à des sacrifices humains ou animaux et plus tard, cette viande a été laissée dans le temple.

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Étymologie

La racine étymologique du nom Baal a son origine dans la religion sémitique, dans laquelle il représentait l'une des divinités les plus importantes associées à la fertilité.

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Baal a reçu divers cultes afin d'obtenir des cultures prospères et, au sein de ces mythologies, il a été considéré comme une figure qui a effectué de bonnes actions; Le terme est venu de ba'al.

Le sens de ce nom peut cependant être traduit par maître, seigneur ou propriétaire, dans la Bible, en particulier dans l'Ancien Testament dès que le Dieu des Phéniciens est référé, acquiert d'autres connotations.

Dans ce cas, Baal ou Bael est synonyme du propriétaire ou de l'enseignant et est considéré comme un démon car il va à l'encontre des conceptions de Dieu.

En ce qui concerne un autre des noms utilisés pour se référer au démon, Belcebú croit qu'il vient du mot hébreu Tsebal, qu'en combinaison avec Baal Il a fait référence au seigneur du grand abîme ou à la demeure.

Le terme a été remplacé par Tsebub, dont le sens est la mouche, l'adjectif qui a été utilisé par les Hébreux comme une moquerie en vue du fait que les viandes qui ont été placées dans des temples telles que les offres ont attiré de grandes quantités de ces animaux lors de la décomposition.

En judaïsme

Des histoires basées sur la mythologie semiitique racontent comment les Israélites ont été punis pour avoir adopté les coutumes polythéistes des peuples de Cannan.

À l'époque, le dieu connu sous le nom de Yaveh, à travers divers prophètes comme Elie.

C'est ainsi que la croyance en divers dieux ou polythéisme a été condamnée et satanisée et toutes ces divinités qui faisaient partie de la tradition semiitique ont continué à jouer des rôles démoniaques dans les Écritures sacrées.

Ba'al Zebub a été utilisé comme un mépris envers la semité par les Israélites et quelques preuves indiquent que le vrai nom de la divinité était Ba'al Zebûl, dont le sens se réfère au Seigneur du logement divin.

D'un autre côté, leur association avec les mouches peut provenir de textes de semi-originalité qui attribuaient des pouvoirs de santé à Dieu en retirant la maladie des gens.

L'histoire raconte comment Baal a expulsé de nombreuses mouches qui avaient causé la maladie dans l'un de leurs fidèles.

Dans la religion semi-

Baal était l'un des principaux dieux du panthéon sémitique lié à la fertilité des terres et des hommes, ainsi que des tempêtes et de la pluie. Selon les histoires de l'époque, il s'est présenté comme un taureau.

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Dans chacun de leurs temples, qui ont été distribués dans les villages, des offrandes ont été placées afin de ne pas manquer d'eau et que leurs terres produisaient des cultures abondantes.

Il y avait une croyance que chaque naissance a été effectuée à l'intersection du bon Dieu Baal et en son honneur, à plusieurs reprises, des sacrifices humains ont eu lieu.

Dans la mythologie de Cananea, il représentait une place importante dans les principales divinités auxquelles ils adoraient, comme Dieu, la déesse Athirat et la déesse Anat.

Les histoires du temps ont affirmé que la divinité de la fertilité était le fils de Dieu le frère de la divinité connue sous le nom de MOT, avec qui, selon la légende, il a soutenu de grands affrontements pour défendre le peuple.

En période de sécheresse, la croyance tournée autour de MOT aurait vaincu Baal au combat.

Dans l'islam

Dans la culture islamique, il y a une figure similaire aux démons de la religion chrétienne, connue sous le nom de Shaitán, qui devrait commettre le péché de se révéler contre les dessins de Dieu.

Il convient de noter que dans l'islamisme, le polythéisme est puni, ce qui comprend l'adoration ou l'adoration d'autres divinités autres que le Dieu suprême, qui dans ce cas est appelé Allah.

Semblable à la conception chrétienne de Lucifer, Shaitán est considéré comme un ange déchu, dont la mission associée au mal est de faire tomber les hommes dans le péché.

Dans l'islam, à travers le Coran, le péché ou l'offensive maximum à Dieu est exposé au polythéisme ou à la croyance en d'autres dieux.

En christianisme

Selon la religion chrétienne, Baal est un démon situé dans les hiérarchies les plus élevées, qui est devenue une figure des ténèbres après avoir accompagné Lucifer dans son idée de saisir le ciel.

D'autres théories affirment qu'il est Satan ou son assistant principal et sont des caractéristiques attribuées liées à la perversité et à de grandes compétences pour tenter les hommes de tomber dans le péché.

Dans la Bible, le principal dieu phénicien a été associé à divers démons et sous différents noms; L'un d'eux est Belcebú, qui est également considéré comme Satan lui-même.

Comme ils le prétendent dans certains passages bibliques, ce démon était un chérubin qui a décidé de suivre Lucifer en enfer et représente le péché capital connu sous le nom de gourmandise.

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La vérité est qu'il est classé dans les Saintes Écritures comme l'un des sept rois appartenant à l'enfer et représente le mal sous toutes ses formes.

Belcebú a été présenté sous diverses formes liées à des figures monstrueuses qui pourraient être des animaux mais avec une disproportion ou une taille modifiée, comme une chèvre avec une grande queue ou une mouche géante, entre autres.

Baal, dans le christianisme, car il représentait la religion polythéiste et l'adoration des faux dieux, selon les Écritures sacrées, a été classé comme une figure du mal.

Apparence

Il existe diverses façons dont Baal a été représenté. En ce qui concerne la culture semiitique, il a été montré sous la figure d'un homme ou d'un taureau.

En ce qui concerne la figure démoniaque, selon les histoires bibliques, il peut être montré comme une figure monstrueuse qui acquiert généralement la forme d'un animal.

Les images les plus courantes qui sont généralement exposées sont comme une grande mouche, un mollet de grandes proportions ou une chèvre dont la queue est peu caractéristique de ces animaux.

Certaines théories soulignent que le Seigneur de Tinieblas, l'une des figures démoniaques les plus redoutables, a une voix avec un son rugueux.

De plus, l'une des images qui la définissent est composée du mélange de plusieurs animaux dans lesquels les jambes d'araignée avec trois têtes sont combinées.

Les têtes sont distribuées comme suit: une tête de chat est située sur le côté gauche, qui peut être blanche ou noir, la tête centrale est un homme avec une couronne et sur le côté droit, la tête correspond à un crapaud. Les trois têtes sont liées à leur cou respectif, qui fusionne avec le corps de l'araignée.

Cette illustration est un reflet fidèle de l'une des croyances qui soutiennent que le prince des ténèbres peut prendre une forme humaine ou l'un de ces animaux.

Les références

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