Concept de métissage, origine, conséquences, types

Il de race mixte C'est le mélange racial et culturel entre deux ethnies différentes. Le terme vient du Latin Mixticius, qui peut être traduit par "mélange". Le résultat est l'apparition de nouvelles et / ou différentes expressions culturelles, de la langue aux croyances religieuses.

Le concept a été fréquemment utilisé pour décrire le processus historique qui a été développé en Amérique après l'arrivée des Européens, bien qu'il se réfère également à d'autres peuples qui ont traversé la même dynamique de mélange entre plusieurs ethnies, comme l'Afrique du Sud ou les Philippines.

Espagnol, Inde et Mestizo fils. De la série les misérables cadres du vice-roi Amat

Ce terme est né en tant que construction idéologique au XIXe siècle, lorsque la théorie qui a maintenu l'existence de races pures était en vogue. À l'heure actuelle, le paradigme scientifique a changé et soutient qu'il n'y a qu'une seule race humaine.

En Amérique latine, le métissage a été considéré comme l'élément fondateur des sociétés. La rareté des femmes parmi les conquérants espagnols ou portugais a déterminé la tendance à rechercher des couples parmi les femmes locales, bien que ces syndicats aient toujours eu une connotation d'illégitimité.

L'arrivée des esclaves africains a fini par former le mélange qui caractérise le continent, dans ce que de nombreux analystes appellent le métissage en Afrique.

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Métissage en Amérique latine

Le processus de métissage en Amérique latine a commencé par l'arrivée des conquérants espagnols en 1492, auxquels les Portugais ont rejoint plus tard.

Parmi les Espagnols qui sont arrivés sur le continent figuraient une très faible proportion de femmes, ce qui a causé depuis le début que les nouveaux arrivants recherchaient des couples parmi les femmes autochtones. Dans ces débuts, le métissage et l'illégitimité étaient des catégories pratiquement équivalentes.

Premières ordonnances sur le métiorisation

Au début de la conquête, la couronne espagnole a tenté d'arrêter les mariages possibles qui se sont produits entre les Espagnols et les Indes. Cependant, au fil du temps, il n'avait pas d'autre choix que d'accepter la réalité.

En 1503, les monarques catholiques ont promulgué une ordonnance qui demandait au gouverneur espagnol, Nicolás Ovando, de faciliter les mariages mixtes dans le but de promouvoir l'évangélisation du travail.

Nicolás Ovando

Quelques années plus tard, en 1512, la Couronne a fait une réforme juridique qui cherchait à mettre fin à l'esclavage indigène. Deux ans plus tard, une vraie carte a légalisé les mariages mixtes et a garanti les droits de leurs enfants nés à eux.

Comme cela s'est produit avec d'autres lois émises en Espagne, sa demande pratique dans les territoires coloniaux était assez inégale. Avec le métissage, un système de castes hiérarchiques est apparu, avec ceux qui avaient allégué du sang pur espagnol et étaient nés dans la péninsule à la cuspide.

Ceux qui n'ont pas rempli ces conditions étaient considérés comme inférieurs, ce qui s'est reflété dans les lois suivantes. Ainsi, par exemple, les personnes qui voulaient étudier l'enseignement supérieur devraient présenter des preuves de leur "pureté de sang".

Différences de mariage

Il était courant que les hommes européens aient de nombreux enfants avec leurs concubines autochtones. La polygamie, quelque chose d'interdit en Europe, est devenu courant en Amérique latine et chaque Espagnol pouvait posséder les femmes autochtones qui voulaient et pouvaient maintenir.

La structure familiale, les Espagnols et les peuples autochtones, ont été affectés par ce facteur. Ainsi, une femme blanche avec des enfants légitimes coexistait avec un autre indigène avec des enfants naturels. Quand l'homme voulait reconnaître ce dernier, il a trouvé suffisamment de complications.

Il y avait cependant des cas d'enfants naturels reconnus, comme Hernán Cortés et La Malinche.

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Bien que ces syndicats illégitimes n'étaient pas aussi mal vus qu'en Espagne, les enfants avaient des problèmes pour leur statut de métis. À long terme, les obstacles juridiques qu'ils ont trouvés les ont amenés à essayer d'adopter toutes les coutumes hispaniques et de quitter les peuples autochtones.

Parmi les autres interdictions, les métis n'ont pas pu avoir de chevaux ni accéder à une fonction publique. Ils n'avaient pas non plus le droit d'être des prêtres ou d'avoir des "Indiens de service".

Société coloniale

Espagnol et Inde avec Mestizo Son. Peinture de caste, 1780

Malgré l'impulsion initiale des mariages mixtes par la Couronne, la réalité des lois dans différentes vice-licernalties a provoqué des conditions inférieures aux métis dans des conditions inférieures.

Le résultat a été la création d'une société divisée en races et castes, avec l'espagnol péninsulaire sur le dessus et les esclaves noirs tels que la classe avec moins de droits.

Au milieu, derrière les créoles (enfants d'Espagnols nés en Amérique, mais avec moins de droits que ceux nés dans la péninsule) se trouvaient une série de castes composées des différents types de métis.

Les métis n'ont pas payé d'impôts spéciaux tels que des peuples autochtones, et ce n'étaient pas des esclaves comme les Noirs. Cependant, ils avaient beaucoup moins de droits sociaux que les Espagnols et les créoles.

Noir et l'Inde produit du zambo. Peinture de caste, 1870

Cette société de caste a duré jusqu'à l'indépendance des différents pays qui composent l'Amérique latine, et même plus tard certains des éléments négatifs qui ont caractérisé.

De prestige aux violations

Certains historiens, comme Luis Ernesto Ayala Benítez, suggèrent qu'une partie du métiorisation avait pour motivation un certain "facteur prestigieux" pour les femmes autochtones.

Cependant, de nombreux autres analystes affirment que la majorité du métiorisation s'est produite pour des violations, des enlèvements ou une amance des peuples autochtones. Le témoignage de Michel de Cneo, l'un des hommes qui est arrivé avec Columbus, est un échantillon de ce fait:

«Pendant que j'étais dans le bateau, je faisais une belle femme des Caraïbes captive, qu'Almirante susmentionnée m'a donné, et après l'avoir emmenée dans ma cabine, et elle était nue comme sa coutume, j'avais l'impression qu'elle a lazaine avec elle avec elle. Je voulais réaliser mon souhait mais elle n'a pas consenti et m'a donné un tel accord avec ses ongles qu'elle aurait préférée.

Mais en voyant cela (et pour vous dire tout jusqu'à la fin), j'ai pris une corde et lui ai donné un fouet, après quoi il a jeté de grands cris, de sorte que vous ne pouviez pas croire vos oreilles. Enfin, nous pouvons être d'accord afin que je puisse vous dire qu'il semblait avoir été élevé dans une école de rotes ».

Cela s'est produit non seulement pendant la conquête, mais il était également courant à l'ère coloniale, en particulier parmi les propriétaires fonciers et leurs travailleurs ou esclaves.

Métissage culturel

Malgré les tentatives des Espagnols d'éliminer les croyances autochtones, leurs coutumes et traditions, beaucoup d'entre elles ont survécu par le métiorisation culturelle.

Une partie de la culture de l'Amérique latine actuelle est née de ce métissage entre les contributions européennes, autochtones et africaines. Cela peut encore être vérifié dans l'artisanat, la gastronomie, la musique, la religion et même dans la langue.

D'un autre côté, certains experts considèrent que les gouvernements et les élites latino-américains ont utilisé le concept de métis pour cacher la discrimination raciale et le racisme existant sur le continent.

Avec l'utilisation de l'idée de métissage, ces gouvernements ont tenté d'affirmer que tous les Américains latino-américains appartenaient à la même race, le Mestizo, avec les mêmes droits et opportunités. De cette façon, la possibilité de tout type de racisme et d'inégalité entre les communautés a été éliminée.

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Métissage en Afrique

Le concept de métiorisation en Afrique est fréquemment utilisé pour nommer le processus historique par lequel de nombreux Africains ont été emmenés comme esclaves en Amérique latine et ont contribué à créer une société Mestizo.

De plus, son utilisation est également étendue à d'autres endroits où quelque chose de similaire s'est produit, comme les Philippines ou les États-Unis, en plus des quelques pays africains dans lesquels il y avait un métissage, comme l'Afrique du Sud.

Dans le cas latino-américain, la plupart des esclaves noirs ont été prélevés du XVIe siècle. La grande mort des peuples autochtones a causé un besoin de travail dans les domaines et les mines et les esclaves africains étaient considérés comme la solution à ce problème.

Des hommes, des femmes et des enfants capturés comme esclaves

Au fil du temps, beaucoup de ces esclaves avaient une progéniture de métis et ont fait partie du système de castes coloniales. De même, ils ont également contribué leurs propres coutumes et traditions, qui se sont reflétées dans de nombreux pays de la région.

Occupation européenne de l'Afrique

Le colonialisme européen en Afrique a eu son boom des dernières décennies du 19e siècle. À cette époque, il y avait une carrière authentique entre les différentes puissances européennes pour essayer de contrôler autant d'extension possible du territoire africain.

La conférence de Berlin, entre 1884 et 1885, a distribué les domaines de l'influence commerciale en Afrique, bien que la concurrence entre les pays européens ait été brutale jusqu'à la Seconde Guerre mondiale et, en fait, a contribué au déclenchement de la Première Guerre mondiale.

Colonies et métissage

Bien que la conférence de Berlin soit considérée comme la grande étape dans la race coloniale en Afrique, la vérité dans laquelle la présence européenne avait commencé beaucoup plus tôt, mais avec des caractéristiques différentes.

Entre le XVe siècle et la première moitié du XIXe siècle, la présence européenne sur le continent africain s'est concentrée, en plus de la recherche de matières premières, sur le commerce et la vente des êtres humains. Beaucoup d'entre eux étaient destinés aux colonies en Amérique, aux États-Unis et en Amérique latine.

La colonisation européenne de l'Afrique et de l'Amérique a complètement changé le monde connu jusqu'à ce moment. Les Indiens des Caraïbes étaient pratiquement exterminés et leur rôle de main-d'œuvre était occupé par des esclaves africains. Des centaines de milliers d'entre eux ont été utilisés dans les plantations d'Antilles.

À l'intérieur du continent, il y avait également une diminution démographique importante de la population autochtone. Les colonisateurs avaient besoin d'un nouveau travail et on estime que, au cours des quatre siècles que la traite des esclaves a duré, près de 10 millions d'Africains ont été emmenés dans les territoires américains.

La reprise démographique partielle des peuples autochtones au cours des siècles suivants a provoqué que l'augmentation du métissage entre ces Africains et les Africains. Dans certaines régions, comme dans les Caraïbes colombiennes, il y avait une fusion culturelle qui a entraîné l'enrichir des traditions et des coutumes.

Fin d'esclavage

Au cours de la deuxième décennie du XIXe siècle, la traite des esclaves avait été officiellement interdite par les puissances européennes. Cependant, une partie d'entre elles a continué à le pratiquer pour offrir du travail aux économies agricoles du continent américain.

Dans la pratique, cela a fait que le commerce des esclaves ne diminuerait pas avant la seconde moitié du XIXe siècle, lorsque les colonies américaines avaient indépendamment indépendante et, progressivement, l'esclavage interdit.

Métissage dans les pays africains

Contrairement à ce qui s'est passé en Amérique latine, les Européens n'ont pas colonié les territoires qu'ils contrôlaient massivement. L'Afrique a été pillée financièrement et la population, considérée comme non localisée et sauvage, n'a été utilisée que comme travail pour.

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Cette considération était l'une des raisons pour lesquelles il n'y avait pas de mélange généralisé entre les Européens et les Africains. Le racisme était si présent qu'il a fini par institutionnaliser dans des pays comme l'Afrique du Sud, avec un régime discriminatoire qui a duré jusqu'à la fin du 20e siècle.

Conséquences de mRupture

La conquête espagnole a apporté l'oppression des peuples autochtones. Sa culture était méprisée et les nouveaux arrivants ont essayé de l'abandonner.

Le métiorisation, comme un aspect négatif, a créé l'oppression d'un grand nombre de personnes. Dans de nombreux cas, les autochtones ont été violés ou maintenus dans un état d'esclavage et leurs enfants n'ont pas été reconnus.

La principale conséquence positive, quant à elle, était la lente apparition d'un nouveau groupe social en Amérique latine. Au fil du temps, les Mestizos sont devenus le groupe majoritaire du continent.

Conséquences sociales

Pendant l'ère coloniale, les classes sociales étaient basées sur l'ethnicité et l'économie, des aspects qui étaient autrefois liés.

Il y avait de grandes différences sociales, économiques et juridiques entre les différentes castes. Les derniers à l'échelle sociale étaient ceux formés par les métis, les indigènes et les Noirs.

Cette discrimination a été la cause de l'épidémie de plusieurs rébellions mettant en vedette les métis, bien que ce soient les créoles qui ont mené les luttes pour l'indépendance.

Dans le domaine économique, les autochtones et les métis étaient également les classes les plus nuies. Les Espagnols possédaient les terres agricoles et les sociétés commerciales, tandis que les Meszos ne pouvaient accéder qu'à travailler avec des salaires de subsistance.

Richesse

La culture de toute l'Amérique latine est le produit du mélange entre les traditions espagnoles, autochtones et africaines. Cela a fourni à la région une énorme richesse montrée dans tous les domaines, de la gastronomie à la musique, à travers les arts ou la langue.

Types de métis

Les Espagnols considéraient les métis comme des personnes inférieures. C'était, d'une part, de croire que les indigènes faisaient partie d'une culture moins développée. De plus, une grande partie de ces métis provenaient de syndicats illégaux, ce qui a augmenté la stigmatisation des blancs.

Pour les Espagnols, il y avait trois races pures: blanc, indigène et noir, et le mélange a été appelé différemment en fonction de l'origine ethnique des parents. À l'ère Colonia, la peinture de caste So-appelée était fréquente, dans laquelle tous les types de métis vivant en Amérique latine étaient représentés.

Principaux types de métis

- Mestizo: Mélange des indigènes et européens (en Amérique latine, principalement espagnol)

- Morisco: Mulato et européen

- Cholo ou coyote: fils d'indigène avec métis

- Mulatos: mélange européen et noir

- Zambo: résultat de l'union d'un noir et d'un indigène

- Castizo: mélange de métis avec espagnol

- Chinois indien a converti et européanisé

- Cambujo: mélange chinois et indien

- Tente dans l'air: fils de Cambujo et de l'Inde

Les références

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3. Uslar Pietri, Arturo. Miscenation et le Nouveau Monde. Obtenu à partir de Cervantes Virtual.com
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