Caractéristiques des onicophores, nutrition, reproduction, espèces

Les Onicophores Ils sont un bord d'animaux qui se caractérisent par la présentation d'un corps allongé avec un nombre spécifique d'extensions sur les côtés, ce qui lui permet de se déplacer adéquatement sur le substrat.

Ce sont vraiment de vieux animaux, car les premiers fossiles qui se sont rétablis proviennent de la période cambrienne, à l'époque du Paléozoica. Cependant, ils ont été décrits pour la première fois par la Guilde de Landsdown naturaliste britannique au XIXe siècle.

Spécimen d'onyophore. Source: Bruno Vellutini de São Paulo / São Sebastião, Brésil [CC BY-SA 2.0 (https: // CreativeCommons.Org / licences / by-sa / 2.0)]

Ces animaux sont principalement dans des environnements dans lesquels l'humidité prédomine. En effet. De même, ils vivent dans des endroits loin de la lumière du soleil et ne les laissent que la nuit pour chasser leur proie.

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Caractéristiques

Les onicophores sont des animaux qui font partie du domaine Eucarya et, en tant que tels, ils sont constitués de cellules eucaryotes, dans les chromosomes de matériau génétique (ADN).

Ils sont multicellulaires, constitués par divers types de cellules, chacun spécialisé dans une fonction spécifique.

En plus de cela, les onychophores sont celomés. Cela signifie qu'ils ont une cavité interne appelée Celome, qui est d'origine mésodermique. Le celoma est important car il contient les organes internes de l'animal, bien que dans ceux-ci, il entoure seulement les gonades.

Si une ligne imaginaire est tracée à travers l'axe longitudinal de l'animal, deux exactement les mêmes moitiés sont obtenues, ce qui nous permet d'affirmer que ces animaux ont une symétrie bilatérale.

Ils sont dioïques, car les sexes sont séparés, présentant également le dimorphisme sexuel. Les femmes sont généralement plus grandes que les hommes.

Ils se reproduisent principalement sexuels, avec une fertilisation interne et externe (selon l'espèce). Ils peuvent être ovipares, vivre et ovoviviparos.

Morphologie

Les onicophores ont un corps allongé, donnant l'impression d'être aplati dans une direction du dos ventral. Bien que la plupart des mesures jusqu'à 10 cm, des spécimens ont été trouvés qui ont dépassé cette taille et ont atteint plus de 20 cm.

En général, sa coloration est foncée, tenant des couleurs qui vont du noir, au brun foncé, à travers le vert. Il y en a aussi quelques-uns qui présentent des couleurs un peu plus vives comme l'orange.

Ils n'ont pas eux-mêmes de jambes articulées, mais ils ont une sorte d'annexe qui peut être utilisée pour le déplacement et la locomotion. Le nombre de ces variations varie selon les espèces.

Le corps est divisé en deux régions: tête (précédente) et tronc (postérieur). Entre eux, il n'y a pas de délimitation très claire, donc seul quelqu'un de très expert dans ces animaux est capable de signaler les frontières entre eux.

Peut vous servir: Ctenophores: quelles sont les caractéristiques, la reproduction, la nutritionMorphologie d'un onychor. Source: Lansdown Guilding [Domaine public]

Tête

L'élément le plus frappant de la tête des onychophores est une paire d'antennes à venir. À la base de chaque antenne, il y a un organe sensoriel qui agit comme un œil.

Sous les antennes se trouvent d'autres annexes appelées papillaires orales. Ceux-ci sont d'une grande importance dans le processus d'alimentation de l'animal, car ils sont chargés d'expulser le liquide qui paralyse les barrages.

Dans la tête est également la bouche, à partir de laquelle les mâchoires émergent, qui sont une autre paire d'annexes qui sont ici.

La surface postérieure de la tête est en proie à un récepteur de chimio, qui a une fonction sensorielle. Ils sont particulièrement abondants dans les antennes.

Tronc

Les éléments les plus frappants du corps sont les extensions qui en sortent et que beaucoup insistent pour aimer les jambes, mais qui ne sont pas tels. Le nom correct est les lobopodes. Le nombre de ceux-ci varie avec les espèces.

Chacun a des rampes, en nombre de 3 à 6 et qui sont celles qui sont constamment en contact avec le sol.

La paroi corporelle du corps est composée de trois couches. De l'extérieur au plus intérieur, ce sont: la cuticule, qui est de chitine, mince et très flexible; l'épiderme; Et enfin, plusieurs couches de tissu musculaire lisse.

Taxonomie

La classification taxonomique des onychophores est la suivante:

-Domaine: Eukarya

-Royaume Animalia

-Superfilus: Ecdysoozoa

-Filo: Onychophora

Nutrition

Hétérotrophes - carnivores

Les onicophores sont des organismes hétérotrophes, ce qui signifie qu'ils ne sont pas en mesure de synthétiser leurs propres nutriments. Pour cette raison, ils doivent se nourrir d'autres êtres vivants ou substances élaborées par d'autres.

En ce sens, il a été établi que ces animaux sont des carnivores prédateurs, étant leur alimentation principalement représentée par une grande variété d'animaux tels que les arthropodes.

La taille du barrage ne semble pas être un élément limitant dans ce régime, car ils se nourrissent des deux petits animaux, comme avec les animaux un peu plus larmes.

Capture de barrage

Grâce aux récepteurs situés dans leurs antennes, ils peuvent recevoir des barrages possibles, même à une certaine distance.

Une fois qu'ils ont identifié le barrage, l'animal lance une sorte de soie qui a la fonction de l'immobiliser. Il est important de souligner que la soie initiale est dans un état liquide, mais lorsqu'elle entre en contact avec l'environnement, il subit un processus de solidification, devenant un réseau qui capture et immobilise le barrage.

De même, il convient de mentionner que l'animal peut lancer cette substance à des distances aussi larges que jusqu'à 50 cm.

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Une fois le barrage immobilisé, l'Onychor. Ceux-ci ont la fonction de commencer à traiter et à digérer les tissus du barrage, afin de faciliter le processus de digestion.

Tournée gastronomique

Après que les barrages du barrage ont été poursuivis et transformés en bouillie, l'onychophore procède à les ingérer. À l'intérieur du corps, ce jus de nourriture se déplace de la cavité orale au pharynx et plus tard à l'œsophage.

Ensuite, il passe à l'intestin, où le processus d'absorption des nutriments est effectué, passant les passant au système circulatoire pour être distribué aux différentes cellules.

Substances qui ne sont pas utilisées par l'animal, soit parce qu'elles ne sont pas nécessaires, soit parce qu'elle a l'incapacité de les digérer et de les absorber, ils suivent le voyage du tube digestif vers la partie terminale de l'intestin de l'intestin. Enfin, ils sont libérés sous la forme de selles à l'environnement extérieur, à travers le trou anal.

la reproduction

Les onicophores sont des animaux dioïques, ce qui signifie que les sexes sont séparés. Il y a des individus et des individus masculins. En eux, vous pouvez voir les deux types de reproduction qui existent: asexué et sexuel.

- Reproduction asexuée

Ce type de reproduction n'implique pas la jonction des cellules germinales (gamètes) mâle et femme. Pour cette raison, les individus générés par ce processus sont exactement les mêmes, à la fois génétiquement et physiquement à leurs parents.

Il existe divers processus de reproduction asexués. Dans le cas de l'une des espèces onicophores que seule les individus féminines présentent, le type de reproduction asexuée est la parthénogenèse.

La parthénogenèse est que les ovules non mariés commencent un processus de division et de segmentation, ce qui est soupçonné, est médié par des facteurs chimiques ou environnementaux, bien qu'il ne soit pas encore très bien défini.

Ce processus se traduit par le développement d'une personne adulte. Bien sûr, tous les spécimens obtenus par ce type de reproduction sont exactement les mêmes.

- Reproduction sexuée

La reproduction sexuelle nécessite nécessairement l'interaction et la fusion des cellules sexuelles mâles et féminines (gamètes). Ces cellules sont représentées par des ovules et des spermatozoïdes.

Fertilisation

Le mécanisme de reproduction chez ces animaux est vraiment varié et dépend de chaque espèce. Bien que la fertilisation soit interne dans toutes les espèces d'onychophores qui se reproduisent sexuellement, le mécanisme par lequel il se produit est différent.

Il existe des espèces dans lesquelles un rapport se produit et le mâle dépose le sperme directement à l'intérieur du corps féminin.

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De même, il existe également des espèces dans lesquelles la reproduction se produit par une structure connue sous le nom de spermatophore. Il s'agit d'une grande masse de tissu dans laquelle les spermatozoïdes sont contenus. Le mâle dépose un spermatophore sur la surface du corps de la femelle, c'est celle qui l'introduit par la suite dans son pore génital.

Développement embryonnaire

Le développement embryonnaire dans les onychophores est également varié, car il existe certaines espèces qui sont ovipares, autres vivant et quelques ovovivipaires.

Dans le cas d'Oviparos, le développement se produit dans un œuf à l'extérieur du corps de la mère. La segmentation de ces œufs est superficielle.

La plupart des espèces sont ovipares, ce qui signifie qu'elles se développent dans les œufs, mais ceux-ci restent à l'intérieur du corps de la femelle jusqu'à ce que l'individu soit pleinement développé.

Enfin, il existe également des espèces d'Onicophores qui sont vivipares. En eux, l'embryon reste à l'intérieur du corps de la mère, se nourrissant de ce. Le nouveau individu est né dans son intégralité.

Espèces représentatives

Eoperipatus totoro

C'est l'une des nouvelles espèces de récemment découvertes. Votre première description formelle date de 2013. Il peut mesurer jusqu'à 6 cm de longueur et présenter une série de poils caractéristiques sur sa surface corporelle.

Ils ont des échelles dans la partie ventrale du corps qui ont une disposition spécifique, ce qui leur permet de les différencier des autres onicophores. Ils sont généralement cachés dans des endroits humides, ne laissant la surface que pendant la saison des pluies.

Eopperipatus totoro spécimen

Péripatus juliformis

Il a le grand honneur d'avoir été le premier Onychor décrit, qui s'est produit en 1826. Il appartient à la famille Peripatidae et se caractérise par une coloration assez sombre, presque noire. Il se trouve principalement sur l'île de San Vicente, dans la mer des Caraïbes.

Eoperipatus Horsti

Il appartient à la famille des Peripatidae et se trouve principalement dans le continent asiatique, en particulier dans la partie ouest de la Malaisie. Il présente le même corps allongé des onychophores, avec sa paire d'antennes avant qui lui permettent de détecter les barrages ou les dangers possibles.

Austroperipatus aequabilis

Il appartient à la famille Peripatopsidae et est endémique dans la région du nord-est de l'Australie. Comme tous les membres de la famille, il a les caractéristiques les plus primitives des onychophores.

Les références

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