Histoire de la géographie culturelle, objet d'étude, concepts

La Géographie culturelle C'est une branche qui vient de la géographie humaine et est responsable de l'étude de l'être humain et des civilisations au niveau culturel. Il se concentre sur la relation entre les civilisations humaines et l'environnement naturel qui les entoure.

Les valeurs, les coutumes, les pratiques quotidiennes, la diversité d'une société, ses modes d'expression et d'autres éléments liés, sont examinés dans cette discipline.

Myanmar, Bruma. Les croyances peuvent établir la façon dont les groupes humains construisent des bâtiments et modifient le paysage géographique.
Image de David Mark de Pixabay

L'aspect principal est la culture et cela peut définir les distributions des humains à la surface de la Terre. Pour cette raison, la géographie culturelle analyse également comment les sens de l'identité sont générés dans une population, comment la logique ou la conception d'un espace dans les gens est produite et aussi comment les groupes humains sont capables de générer des connaissances pour communiquer et générer des significations.

Certains aspects tels que les arts, la musique, la religion, la langue et les structures sociales et économiques d'une société sont également étroitement liées à la culture.

La géographie culturelle est liée à des sciences telles que l'anthropologie ou la sociologie, pour effectuer ses applications. Sa grande différence est qu'il est intéressé à comprendre les significations de chaque pratique culturelle, y compris les groupes humains, leurs conceptions de «l'autre» et de leur développement dans le monde, soulignant le paysage, les lieux et l'environnement naturel.

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Histoire

L'histoire de la géographie culturelle est très récente, développant le concept à partir du XXe siècle aux États-Unis. Pour comprendre ses origines, il est perceptible de mentionner le géographe américain Carl Ortwin Sauer (1889-1975), connu comme le père de cette branche pour de nombreux cercles académiques.

La plupart de ses études se sont concentrées sur la nature, le paysage et la culture, mais voulaient démontrer que bien que l'environnement naturel ne définisse pas la culture, ce dernier se développe lié à lui, créant certains modes de vie.

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Sauer était intéressé à étudier les impacts environnementaux générés par les activités des êtres humains. Il était également intéressé à découvrir les origines et la propagation culturelle des pratiques communes telles que l'agriculture, l'utilisation des incendies et la domestication animale. Au-delà de cela, Sauer n'a pas largement défini la culture comme un concept, mais s'est concentrée sur une simple "mode de vie".

Par la suite, Philip Wagner et Marvin Mikesell Geographers, dans les années 60, ont défini la géographie culturelle basée sur la diversité des expressions culturelles existantes et leur influence sur la manière dont les humains interagissent avec la Terre.

Ainsi, ils ont affirmé que la géographie culturelle se concentre sur l'étude des conflits culturels et la façon dont les significations de la culture sont imposées dans la société comme une forme de contrôle.

En dehors, ils ont également classé la géographie culturelle comme une sous-discipline de la géographie humaine, responsable de l'exploration de la forme de l'organisation humaine et de l'impact de leurs activités culturelles sur l'environnement.

Objet d'étude

La géographie culturelle est une branche de la géographie humaine. Source: Pixabay

Cette discipline diffère des autres car elle ne se concentre pas sur l'étude d'une classification par défaut des environnements géographiques, mais délimite les espaces spatiaux en fonction de la culture.

De cette façon, traditionnellement, les géographes de ce domaine surveillent le développement de la culture et de la société dans leurs paysages spécifiques et analysent également comment ils sont capables de les façonner et de les modifier.

De cette interaction entre les humains et l'environnement naturel, la composition de ce qui est connu sous le nom de «paysage culturel» survient. C'est ce dernier sur lequel la géographie culturelle est appliquée à la suite de lignes directrices telles que l'étude du mode de vie d'une société.

Analyser les civilisations à travers des structures, des idées, des attitudes, des croyances, des langues et même des institutions de pouvoir. Il étudie également les questions liées au territoire et au sens du lieu, et des questions telles que le colonialisme, l'internationalisme, la migration, l'écotourisme, etc.

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Processus pour mapper

Pour la géographie culturelle, les cartes sont tirées sur des facteurs culturels tels que la religion, l'écologie ou la langue des différentes régions de la planète.

Dans un premier cas, les zones de la terre sont délimitées qui peuvent avoir des éléments culturels en commun et contrastent avec les parties qui sont différentes. Il décrit également comment un secteur culturel peut être élargi et placé comme une caractéristique déterminante d'une partie de la planète.

Des cartes sont également construites en fonction de la façon dont la culture est capable de modifier visuellement un endroit. Les géographes prennent également en compte la façon dont les groupes culturels sont engagés ou ont un impact sur le paysage naturel. Entre autres choses, ils évaluent comment une caractéristique d'une culture spécifique peut donner vie à un autre nouveau groupe culturel.

Concepts importants

La géographie a développé divers concepts pour classer ou nommer des aspects ou des éléments habituels dans les études.

Atmosphère culturelle

Il se réfère à l'approche dans le rôle de la culture dans la façon dont les êtres humains interagissent et comprennent l'environnement. Identifiez les phénomènes variables ou constants dans chaque aspect de la culture dans un lieu, comme la religion.

Paysage culturel

Il se réfère à un paysage naturel qui a été modifié par l'influence humaine par le biais d'activités. Le groupe humain qui modifie l'espace transporte avec elle une culture qui se traduit par des comportements, une symbologie, des bâtiments religieux, une société ou des structures économiques, ainsi que d'autres composants qui forment une civilisation.

La vie quotidienne à Tokyo, Japon.
Image de Jason Goh de Pixabay

Par exemple, les urbanismes, les centres commerciaux, l'agriculture, les bâtiments religieux et les panneaux de signalisation sont des moyens de modifier un paysage naturel à travers une culture qui accompagne un groupe humain.

D'autres tendances telles que les vêtements ou la nourriture sont également considérées comme des aspects d'un paysage culturel, car ce concept couvre les besoins fondamentaux des personnes, qui déterminent une partie de leur comportement et de leur interaction dans la société.

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Culture

Dans la géographie culturelle, la culture est considérée comme le recueil de données liées aux attitudes et comportements quotidiens qui deviennent des modèles partagés au sein d'une société.

Il se réfère en termes généraux au mode de vie qui caractérise un groupe géographique. La culture est l'un des éléments les plus importants pour les géographes lors de l'étude de la surface de la Terre et des paysages géographiques.

Hégémonie culturelle

Fait référence à l'action de convertir une culture en dominante par rapport aux autres, de sorte que sa vision du monde devient la normale culturelle acceptée, l'idéologie valide et universelle, justifiant le Status Quo.

Mondialisation

Phénomène qui fait référence à l'interaction qui se produit entre les personnes, les communautés, les entreprises et les gouvernements du monde entier, qui génèrent l'adoption de certaines caractéristiques et une unification de diverses identités culturelles.

Diversité culturelle

Il suppose la multiplicité et l'interaction des cultures qui coexistent dans le monde et, selon l'UNESCO, font partie du patrimoine commun de l'humanité. Il est aussi nécessaire pour l'être humain comme diversité biologique pour les organismes vivants.

Méthodes

L'unité d'étude de la géographie culturelle est le paysage. Source: Pixabay

En géographie culturelle, le chercheur doit savoir comment identifier l'ordre chronologique des objets et des formes de paysage. D'où l'importance de gérer différentes échelles temporelles.

En ce sens, la méthode historique est la clé pour étudier la dynamique des successions des cultures étudiées. Cela implique également la gestion des méthodes géomorphologiques, ethnologiques et anthropologiques.

Le chercheur doit également souligner le travail sur le terrain, ce qui implique l'utilisation d'échelles cartographiques à humaines. Il nécessite également la mise en œuvre de méthodes qualitatives dans lesquelles l'entretien et l'observation se démarquent.

Les références

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