Forme du gouvernement de la Mésopotamie

Œuvre d'art contemporain qui représente Babylone. Bazil Amin, Wikimedia Commons.

La Forme principale du gouvernement de la Mésopotamie C'était à travers la figure d'un roi, qui n'a pas dominé la région entière, mais celle existait pour chaque ville de taille considérable, la gouvernant de manière indépendante et selon ses propres principes moraux et religieux.

N'oubliez pas que la Mésopotamie était une région où les grandes villes ont été construites, séparées par de vastes extensions du désert ou des marécages, qui favorisaient la création d'états de villes, indépendants les uns des autres.

Ils se sont battus dans une guerre presque continue, essayant de se saisir. Ensuite, il y avait divers empires, qui ont tenté d'unifier la région: l'empire sumérien, l'Akkadien ou le Babylonien.

Malgré cette indépendance apparente, les villes ont partagé entre eux certaines structures gouvernementales formelles.

La Mésopotamie est le nom qui a été donné à la région que l'Irak et une partie de la Syrie comprennent aujourd'hui, c'était la maison de civilisations telles que les Sumériens, les Babyloniens et les Assyriens, installés dans différentes états de villes, parmi lesquels Babylone, Sumeria, Suméria , Uruk et Assyrie.

Le roi, qui a gouverné la Mésopotamie

L'histoire enregistrée de la Mésopotamie ancienne remonte à plus de 3.000 ans, avant l'invasion et la conquête de l'Empire perse en 539.C.

La succession du pouvoir a été réalisée dans les mêmes dynasties monarchiques, héritage. Certaines études gèrent la possibilité d'une figure de pouvoir subordonné, ou parallèle, au roi, qui était responsable de l'administration et de la matérialisation des politiques dans la ville.

Avec l'expansion de l'Assyrie et de Babylone, ce fonctionnaire est devenu plus important en dessous de la figure du monarque. Parmi les nombreux titres qui lui sont attribués, c'est celui qui se traduit par "gouverneur".

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Alors qu'en Mésopotamie, on croyait que la puissance du roi provenait des dieux, contrairement aux anciens Égyptiens, la mésopotamique n'a pas vu leurs rois comme de vrais dieux. La grande majorité des monarques s'appelaient comme "grand roi" ou "roi de l'univers".

Histoire et évolution politique de la Mésopotamie

La civilisation sumérienne a été la première à développer une société organisée dans la région. L'invention de l'écriture cunéiforme a permis aux affaires gouvernementales d'être fournies avec un enregistrement officiel et un soutien.

Les gouvernements sumériens sont attribués la première forme de bureaucratie. À partir de ce stade, à travers les premières villes états fondés -ea, Eridu, Kis, Lagas, Uma, Ur et Uruk-, la figure du roi a été établie comme un dirigeant absolu.

L'expansion de l'Empire sumérien a permis de créer de nouvelles villes et ordres sociaux. L'écriture a permis non seulement de capturer ces naissances, mais aussi de développer la hiérarchie du pouvoir.

La mobilisation et les établissements de groupes nomades, ou le grand courant d'immigration arabe, ont été l'une des premières indications de tension et de conflit, et qui déclencherait une longue période de conquête et d'imposition de nouvelles politiques.

Les conflits constants rencontrés par les différents états des villes ont conduit à une décroissance de l'empire sumérien.

L'arrivée de Sargon I d'Assyrie et la fondation de l'empire akkadien ont servi à établir un système gouvernemental "indépendant" entre les villes à la figure d'un empereur. Cette période durerait environ 130 ans (2350 à.C.-2220 A.C.).

Des siècles de conflits, d'escarmouches et de tentatives de certaines villes ou ethnies passeraient dans la région, jusqu'à l'arrivée de Hammurabi au trône du petit Babylone alors.

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La campagne expansionniste qui a commencé a réussi et pourrait adhérer à son empire la plupart des villes existantes en Mésopotamie.

Le règne de Hammurabi n'a pas duré plus de 100 ans, avant la succession de son fils et la chute éventuelle de Babylone aux mains d'une autre culture, les maisons.

Cependant, pendant son règne, Hammurabi a unifié les codes existants jusque-là et a élaboré le premier ensemble de lois connues sous le nom de code Hammurabi, qui était basé sur un principe de réciprocité, afin d'ajuster un crime commis, enseignant une punition similaire.

Structure du gouvernement

Le concept des états des villes est même resté pendant l'Empire babylonien et, dans le domaine de l'empereur, les rois précédents ou les dirigeants des différentes villes, sont perçus comme des administrateurs de ces régions, obéissant à une volonté supérieure d'être nécessaire pour être nécessaire.

Au cours de cette étape, une sorte de démocratie primitive a été développée, en ce sens qu'une partie d'une partie du pouvoir a été stratifiée dans les institutions qui, bien que non complètement définies, ont donné aux citoyens, dans certaines conditions, la possibilité de faire des parties dans certaines décisions politiques.

Les citoyens participants politiquement ont été divisés en "gros" ou "sages" et "petits" hommes et hommes.

De petites assemblées ont été formées, mais de nombreuses études affirment qu'il est encore difficile de connaître les activités spécifiques et la portée que les résolutions et les projets citoyens ont eu dans les états des villes de l'Empire.

Pouvoir citoyenne

Certaines actions qui ont été déduites, les citoyens pourraient faire de l'exercice:

1. Les citoyens pourraient choisir, dans une certaine mesure, leur représentant ou seigneur en chef.

2. Les citoyens pouvaient décrire une structure militaire, diriger ou proposer des mesures de politique étrangère, mener une guerre, conclure un traitement de la paix et avoir la même responsabilité que l'organisme militaire pour défendre la ville et le territoire correspondant.

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3. Les citoyens pourraient faire des organismes civils avec certaines fonctions juridiques reconnues par le chef de l'administrateur de la ville.

Ces fonctions leur ont permis de faire face à des questions mineures, telles que la distribution des héritages et des terres, les conflits du travail et les litiges commerciaux, la vente d'esclaves, la résolution de crimes tels que la fraude et le vol, le paiement des dettes et l'organisation des projets communaux.

4. Les citoyens avaient parfois le pouvoir de représenter leur cité-État, et ils auraient pu avoir un certain contrôle sur les fonds communaux.

5. Les citoyens ont maintenu une responsabilité culturelle avec l'Empire et ont dû allouer une partie de leur organisation communautaire aux cérémonies.

Ainsi qu'avec la chute de l'Empire sumérien, qui a entraîné des changements dans les formes de gouvernance des États-villes de Mésopotamie, la levée et l'imposition constantes de certaines régions sur d'autres n'ont pas permis à une structure politique définitive d'être développée qui a enduré le passage des années, des guerres et des invasions et des dirigeants.

L'invasion de l'Empire perse était décisive pour terminer le redoublement monarchique ou participatif.

Les références

1. Tenu, c. C., & Cummings, J. T. (2013). Modèles du Moyen-Orient: lieux, personnes et politique. Hake UK.
2. Vidal, J. (2014). La vraie divinisation en Mésopotamie: une théologie politique. Arytes.